La première difficulté fut d’ordre légal : obtenir l’accès à un terrain que l’organisation gérait depuis près de dix ans, mais qui avait été récemment réclamé puis abandonné par l’État – laissant l’association sans lieu d’activité et transformant cet espace stratégique en terrain vague.
Ensuite, il a fallu élaborer, à partir d’ateliers de co-conception, un projet techniquement viable, fonctionnel et adapté à un budget restreint. Le changement de gouvernement a entraîné la perte des financements garantissant la totalité du projet, nous contraignant à le repenser en plusieurs étapes.
Nous avons alors convenu d’un projet plus modeste répondant à la nécessité prioritaire : une scène couverte pour des événements culturels, servant également d’abri par mauvais temps. Grâce à diverses petites sources de financement, nous avons pu réaliser cette première phase et esquisser les étapes suivantes.